La caravane des desserts ou l’invention de la tristesse. Les chiens aboient, la caravane passe, Dédé recommande un demi et le garçon, dans son habit noir sali par le temps, passe une main négligente dans ses cheveux rares et gras. On n’est pas bien là ? On n’est pas bien, là. Café Richard, de la flotte, un petit apéritif ? Le kir, le blanc ouvert depuis des mois. Un passage de Houellebecq, la vie qui passe, comme la caravane.
L’anecdote d’Olivier : « Je me souviens du dernier repas au restaurant de ma mère. Elle avait commandé une faisselle. On sentait qu’elle avait perdu l’envie de vivre. »
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