Mort de la petite Rosalie: de nouveaux détails perturbants sont dévoilés.

Un rapport dévoilé partiellement mercredi par la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (CDPDJ) révèle que le manque de communication entre la DPJ et une maison d’hébergement pourrait avoir compromis la transmission d’informations essentielles qui auraient pu servir à protéger la petite Rosalie, une fillette dont le corps avait été retrouvé dans un bac à ordures résidentiel il y un an à Québec.

L’enquête menée par la CDPDJ est maintenant terminée, mais seulement une partie du rapport a été révélée pour le moment.

L’organisme a notamment expliqué “qu’une incompréhension du rôle, du mandat et des attentes, entre la DPJ et la maison d’hébergement, a occasionné des problèmes de collaboration et de transmission d’informations essentielles à la protection de cette enfant”.

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