Une étude suggère que l’exposition au rayonnement cosmique ne favorise pas les risques de cancer ou de maladies cardiaques pour les astronautes. Concernant les missions longues durées en revanche, ce sera sans doute une autre histoire.
Outre les nombreux défis techniques et psychologiques inhérents à un voyage longue durée dans l’espace, l’une des principales interrogations des chercheurs reste sans doute celle des potentiels effets nocifs du rayonnement sur les astronautes. Nous parlons ici d’un flux constant de particules de haute énergie traversant le milieu interstellaire à quasiment la vitesse de la lumière. Si nous sommes protégés de ces rayons sur Terre grâce à notre champ magnétique, nous sommes en revanche beaucoup plus vulnérables une fois passée cette frontière. Mais quels seraient exactement les effets d’une exposition longue durée à ce rayonnement cosmique sur le corps humain ?
