En cas de stress, les cellules masculines tendent à se suicider, les cellules féminines survivent : une étude le confirme

Un nouveau pas en avant a été franchi dans la médecine dite de genre, qui a toujours étudié le comportement et la structure des gènes chez les hommes et les femmes et qui détermine les différences et les similitudes. Une étude scientifique transversale impliquant l’Institut de la Santé (ISS), le Département de médecine expérimentale, diagnostique et spécialisée (DIMES) de l’Université de Bologne, l’Institut IRCCS des sciences neurologiques de Bologne, l’IAC (Institute for Applied Computing) et le Conseil national de recherches (CNR) de Rome ont confirmé certaines différences génétiques importantes.

L’étude croisée a mis en évidence comment les cellules des hommes, soumises à différents types de stress, ont tendance à “se suicider” en effectuant le processus dit d'”apoptose”, tandis que les cellules des femmes réagissent aux changements et influences externes en “traitant” le problème et assurant la survie des cellules environnantes.

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