Enceinte après un viol, une mère choisit décide de garder le bébé : “Ce n’est pas l’enfant de mon violeur, c’est le mien”

Dans la vie d’une femme, le viol peut être un évènement causant de nombreuses conséquences psychologiques et provoquer un syndrome post-traumatique. Si ce crime engendre une grossesse, il peut être difficile pour ces victimes d’envisager le choix d’élever l’enfant issu d’un viol. D’autres, au contraire décident délibérément d’accueillir ce dernier et de le regarder grandir envers et contre tout.

Engendrant de nombreuses retombées psychologiques, le viol est une épreuve difficile à surmonter. Choc, culpabilité, déni, colère, dépression sont autant de conséquences dont peuvent pâtir les victimes de cette agression sexuelle et les empêcher de recourir à des procédures judiciaires. D’autres comportements tels que la consommation de toxiques, l’anxiété, l’automutilation, les pathologies mentales découlent potentiellement de ce traumatisme. Lorsqu’une grossesse est engendrée par ce crime, la femme peut faire face à de nombreux questionnements et un dilemme issu de cette annonce : l’élever ou recourir à l’interruption volontaire de cette grossesse.

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