Mon amie avait un petit ami violent. Nous savions tous les deux qu’il était un sociopathe violent, mais bien sûr, étant sa petite amie, c’était quelque chose qu’elle niait depuis longtemps. Finalement, elle ne pouvait plus le nier et a essayé de le quitter une fois pour toutes. Pendant qu’il la battait, elle a réussi à s’éloigner de lui, et a essayé de se mettre à l’abri dans ma maison. Mais ma maison n’était pas sûre ; il l’a suivie, a frappé la vitre et a ouvert le loquet de l’intérieur.
J’aimerais pouvoir dire que l’une de nous a été courageuse contre lui, mais cela n’a pas été le cas. Il nous a acculés rapidement et a utilisé ses poings et mes écharpes pour nous faire taire et nous contrôler. Il nous a dit ce qu’il allait nous faire à toutes les deux (je ne le répéterais jamais ici) ; j’étais résignée, trop abattue pour me battre et nous sauver toutes les deux… […] C’est alors que Camie, mon chien, a cassé la porte-fenêtre et a débarqué dans la pièce.
