On sait enfin ce qui fait pâlir “Le Cri” d’Edvard Munch

Nous pensions jusqu’à présent que la lumière faisait pâlir les couleurs jaunes de la célèbre peinture de 1910 d’Edvard Munch, Le Cri (The Scream). Une étude récente démontre que son impact est en réalité mineur. La vraie coupable, c’est l’humidité.

C’est sans doute l’une des oeuvres d’art moderne les plus célèbres. Le Cri, d’Edvard Munch, est immédiatement reconnaissable : un ciel tourbillonnant dans les tons rouges et jaunes, un visage déformé avec la bouche grande ouverte qui semble exprimer un son de détresse. L’artiste norvégien a réalisé quatre versions de “The Scream” entre 1893 et ​​1910. Toutefois, la dernière est sans doute la plus emblématique.

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