Il n’y aurait pas une, mais deux maladies de Parkinson, avance une étude. L’une prendrait en effet racine dans les intestins et l’autre dans le cerveau. Ces résultats pourraient aider à expliquer pourquoi les patients présentent parfois des symptômes et des évolutions très différentes. Ces travaux pourraient également aider à améliorer notre capacité à traiter ces maladies à l’avenir.
La maladie de Parkinson se caractérise par la destruction des “neurones à dopamine”, impliqués dans le contrôle des mouvements du corps. Certains symptômes se développent alors, tels que la raideur, la lenteur du mouvement et le tremblement au repos. On évalue à 6,3 millions le nombre de personnes touchées par la maladie dans le monde, dont environ 200 000 en France.