« Je ne peux pas accepter le nom horrible que ma belle-sœur a choisi pour ma nièce »

La raison principale pour laquelle ce futur oncle ne souhaite pas que sa nièce s’appelle Aanal est qu’elle évoluera dans un environnement peu favorable à la diversité culturelle. « Ils vivent dans la partie la plus riche de Dallas, au Texas. Ils prévoient d’envoyer leur fille dans une école chrétienne privée coûteuse et la population de leur quartier est majoritairement blanche » se plaint-il. Un prénom qui sera sujet aux moqueries mais qui sera donc trop typé dans son futur cercle social. Celui qui refuse que sa nièce soit appelée ainsi raconte qu’il avait deux prénoms, Aaron, pour l’école et Aadith, en hommage à son origine indienne.

Pour le tonton inquiet, il est possible que sa nièce s’appelle Aanal mais… à la maison. La solution idéale pour lui est un « double prénom », un pour la vie sociale et un pour sa famille, une combinaison qui lui a permis d’être plus heureux. « Je suis un immigrant et quand je retournais en Inde pendant l’été, j’étais Aadith et aux Etats-Unis, j’étais Aaron » témoigne-t-il. Puis d’ajouter : « J’ai eu plus d’opportunités et j’ai pu respecter mon héritage ». L’homme confie que son prénom indien rendait honneur à son grand-père qu’il aimait. Seulement, sa belle-sœur ne semblait pas l’entendre de cette oreille. 

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