Après avoir découvert son orientation sexuelle, cet homme est décapité par sa famille

Aghil et Alireza se sont rencontrés sur un compte de réseaux sociaux dédié à la communauté LGBTQ iranienne créé en 2019. Ils ont pu à ce moment échanger des messages et nouer des liens intimes. Le petit ami du jeune homme assassiné raconte qu’ils étaient honnêtes les uns envers les autres et qu’il était optimiste. Pour autant, il souffrait du contexte social iranien mais aussi de la pression familiale qui lui imposait de ne pas vivre sa sexualité au grand jour. Et pour cause, en Iran, l’homosexualité est passible d’emprisonnement. « Il était toujours stressé. Il se rongeait les ongles jusqu’au sang » témoigne son partenaire. 

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