Comment le protocole de Montréal nous a sauvés d’une “terre brûlée”

Si les pays signataires du Protocole de Montréal ne s’étaient pas engagés à interdire les produits chimiques destructeurs d’ozone à la fin des années 1980, le changement climatique aurait considérablement aggravé le réchauffement de la planète d’ici les années 2040.

Grâce au protocole de Montréal et à ses amendements, signés en 1987, les molécules en question ont été peu à peu remplacées par d’autres composés moins néfastes pour la l’ozone stratosphérique. Et depuis, cette couche a montré de signes de rétablissement.

D’après les modèles, la signature du Protocole de Montréal nous a véritablement donné une chance de lutter contre le réchauffement climatique. Entendez par là : la situation est critique et sera très compliquée à l’avenir, mais elle aurait pu être bien pire.

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