L’UNESCO a adopté un premier accord sur l’éthique de l’intelligence artificielle

Il y a peu, les 193 pays membres de l’UNESCO ont établi la base d’un tout nouveau cadre concernant les technologies en lien avec l’intelligence artificielle. L’objectif est de faire en sorte que l’IA rende service à l’humanité tout en prenant en compte les différentes problématiques relatives à l’éthique.

« Qu’il s’agisse de réserver un vol, de diriger des voitures sans conducteur ou de personnaliser notre fil d’actualité du matin, l’IA intervient dans un grand nombre de nos tâches quotidiennes. Elle participe également à la prise de décision des gouvernements et du secteur privé », explique Audrey Azoulay, directrice de l’UNESCO.

Au passage, il faut préciser que l’IA peut potentiellement aider à la résolution de problématiques plus importantes. Citons par exemple la faim dans le monde ou encore le dérèglement climatique. Consciente des possibilités, Audrey Azoulay a souligné que l’objectif de ces recommandations n’était pas d’interdire l’IA.

Lire la suite sur SciencePost