Anxiété et dépression liées au SPM : comment les éviter ?

Le SPM touche 20 à 50 % des personnes menstruées, mais les facteurs responsables ne sont toujours pas précisément définis. Ils incluent :

La croyance qui attribue une mauvaise humeur inévitable à toute personne pendant son cycle conduit à ignorer les épreuves vécues par certaines. La possible gravité du syndrome et ses risques sont également occultés dans la société, ce qui en fait un sujet tabou encore aujourd’hui.

Les mécanismes ne sont pas bien cernés, mais l’origine neuroendocrinienne des troubles psychologiques est reconnue. En effet, l’anxiété est liée aux chutes hormonales en fin cycle des hormones sexuelles (progestérone et œstrogènes) et de la sérotonine (régulatrice du sentiment de bien-être).

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