Au niveau mondial, la surface occupée par de la glace de mer persiste à un niveau bas record depuis le début de l’année. Pour bien comprendre les raisons de cette anomalie, il faut revenir à la situation propre à chacun des deux pôles.
De son côté, la banquise arctique n’est pas en reste. Si celle-ci approche de son maximum annuel enregistré à chaque fin d’hiver boréal, son étendue est là aussi proche des records bas. Au 30 janvier, on enregistrait ainsi une extension de seulement 13,67 millions de kilomètres carrés, autrement dit 1,19 million de kilomètres carrés sous la moyenne 1980-2010 portée à 14,86 millions de kilomètres carrés. Seule l’année 2018 fait « mieux », avec 13,40 millions de kilomètres carrés.
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