Cette Française du 17e voulait de jolies dents, mais à quel prix ?

Au tournant du XVIIe siècle, Anne d’Alègre s’est donné les moyens de conserver son sourire en fixant ses dents avec des fils d’or. La procédure, particulièrement avancée pour l’époque, aurait cependant été douloureuse. Au final, elle aurait peut-être également aggravé son état. Les détails de l’étude sont publiés dans le Journal of Archaeological Science: Reports.

Reconstituer les conditions de vie et de santé des humains anciens est essentiel pour la recherche anthropologique. Parmi les restes squelettiques, ceux de la cavité buccale sont particulièrement intéressants, dans la mesure où la santé bucco-dentaire est étroitement liée à la santé systémique. La santé de nos dents peut également fournir une indication pour le diagnostic d’une pathologie spécifique, notamment la maladie parodontale.

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