Basse de faible fréquence : quand l’inaudible nous fait danser

Pour faire danser un groupe de personnes, des chercheurs ont montré que le rythme échappant à nos oreilles est tout aussi important que la mélodie perçue par nos tympans. Selon une équipe de neuroscientifiques canadiens, les basses à faible fréquence enverraient en effet des ondes pleines de motivation aux fêtards qui aiment danser lors d’un concert de musique.

Avec des sonorités mêlant techno et musique industrielle, Orphx est un groupe habitué à faire danser les foules depuis 1993. Les deux DJ canadiens ont cependant dû être surpris en recevant un coup de téléphone de l’université McMaster. À l’autre bout du fil, une équipe de neuroscientifiques leur proposait en effet une date très spéciale au LIVELab, un espace à mi-chemin entre laboratoire de recherche et salle de concert.

Lire la suite sur SciencePost