Quand les zones urbaines intensifient les pluies de cyclones tropicaux

Une nouvelle étude montre que les zones urbaines, en particulier les villes côtières, tendent à augmenter l’intensité des précipitations associées aux cyclones tropicaux. Les résultats ont été publiés dans la revue Advances in Atmospheric Sciences ce 18 février.

Lorsqu’un cyclone tropical se déplace d’une surface océanique vers une surface continentale, il subit un affaiblissement rapide car le système n’est plus en contact avec les eaux chaudes qui constituent sa principale source d’énergie. Par ailleurs, la friction au-dessus des terres est plus importante, ce qui participe également à diminuer l’intensité du tourbillon. Or, si les vents sont rapidement atténués, il en va bien différemment pour les précipitations comme l’a par exemple illustré le cyclone Harvey qui a frappé le Texas en 2017.

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