Dans le cadre d’une étude, des chercheurs ont testé des hypothèses relatives à l’extinction du mégalodon en fournissant des estimations quantitatives de sa température corporelle, contraignant ainsi sa physiologie thermique. Ils ont alors constaté que l’énorme requin avait des températures corporelles significativement élevées comparé à d’autres clades. D’ailleurs, les coûts métaboliques élevés associés à cette endothermie pourraient avoir contribué à sa vulnérabilité à l’extinction.
De nos jours, les plus de 500 espèces présentes dans quasi tous les habitats marins jouent un rôle crucial dans les écosystèmes en tant que prédateurs au sommet, mais aussi en tant que des sources potentielles de nourriture pour les individus plus âgés ou les taxons plus grands.