Cette étude, menée par des chercheurs de l’Université du Vermont, de l’Institut international d’analyse des systèmes appliqués, de l’Alliance of Bioversity International et du CIAT, a utilisé un modèle économique mondial pour déterminer les conséquences d’une telle transition alimentaire sur la totalité du système alimentaire. « Bien que le remplacement du bœuf ait les plus grands impacts », note l’étude, « la substitution de plusieurs produits est synergique. »
Les chercheurs affirment que le reboisement des terres actuellement utilisées pour l’élevage, lorsque la viande et les produits laitiers seront remplacés par des alternatives végétales, pourrait avoir des avantages supplémentaires sur le climat et la biodiversité.
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