Comment les derniers chasseurs-cueilleurs de France ont évité la consanguinité

Une analyse avancée de l’ADN prélevé sur des squelettes vieux de 8 000 ans en France suggère que les derniers groupes de chasseurs-cueilleurs d’Europe ont probablement élaboré des stratégies culturelles pour éviter la consanguinité.

Au niveau de la Bretagne actuelle, la « transition néolithique » s’est produite vers 4900 av. J.-C., entraînant des changements majeurs dans les modes d’établissement, la technologie, l’alimentation et les pratiques funéraires.

Dans le cadre de nouveaux travaux, des chercheurs ont examiné le génome d’une dizaine d’individus ayant vécu entre 6350 et 4810 av. J.-C., principalement enterrés à Téviec et Hoedic, deux sites archéologiques côtiers dans le nord-ouest de la France. Ces endroits ont gagné en importance en raison de leur abondance de squelettes humains bien préservés datant de la période où l’Europe occidentale a connu la transition néolithique.

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