Le jeûne intermittent, une méthode alimentaire de plus en plus populaire, suscite un débat scientifique quant à son efficacité réelle concernant la perte de poids. Alors que de nombreux partisans vantent ses bienfaits supposés pour la santé, une nouvelle étude remet en question certaines des hypothèses couramment avancées sur ses mécanismes sous-jacents.
Le jeûne intermittent est devenu une méthode populaire pour perdre du poids. Il est basé sur l’idée que limiter la période pendant laquelle une personne peut manger peut conduire à une réduction globale de l’apport calorique, ce qui pourrait favoriser la perte de poids. Cependant, une étude récente dirigée par Nisa Marisa Maruthur de l’Université Johns Hopkins a remis en question cette hypothèse.