Ce sont le plus souvent les personnes âgées, les femmes enceintes ou les personnes déjà malades ou les enfants qui sont le plus exposés à la septicémie. D’ailleurs, près de la moitié des cas sont des enfants de moins de cinq ans et on considère que quinze patients sur mille subiront cette complication au cours de leur hospitalisation. Toutefois, personne n’est à l’abri de ce mal méconnu et particulièrement grave. Mis bout à bout, des chiffres atteignent ainsi un nombre vertigineux de 48,9 millions de cas et de 11 millions de décès rien qu’en 2017, soit 20 % des décès à l’échelle mondiale. Pour endiguer ce mal qui tue plus que le cancer dans le monde, la recherche se poursuit inlassablement.
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