Une étude confirme les faibles conséquences des fuites des gazoducs Nord Stream en 2022

Il y a deux ans, les fuites des gazoducs du projet Nord Stream laissaient craindre la survenue d’une terrible catastrophe environnementale. Ce n’est en réalité pas le cas, comme le confirme une étude suédoise récente. Selon ces nouvelles estimations, entre 10 000 et 50 000 tonnes de méthane seraient restées dans l’eau de la mer Baltique après les fuites.

Après cette découverte inquiétante, certains experts ont rapidement tenté de rassurer tout le monde en rappelant que les gazoducs n’étaient pas en service en raison de la guerre en Ukraine. Le Centre de recherche sur l’énergie et l’air pur (CREA) avait à l’époque estimé que les volumes de gaz résiduel susceptibles de s’échapper se situaient entre 180 000 et 270 000 tonnes.

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