C’est un processus fascinant et complexe, dans lequel un quelconque déséquilibre, un quelconque changement au sein des neurotransmetteurs peut nous faire éprouver la plus grande motivation. Mais aussi la tristesse la plus désespérante ou encore une joie rayonnante.
Ces modifications biochimiques dépendent de multiples facteurs. Par exemple, les dépressions de type endogène où le taux de sérotonine est bas débouchent sur un état de vulnérabilité, l’anhédonie et un abattement permanent.
De plus, nous savons que la dépression est liée à certains acides aminés et à la conjonction de certains neurotransmetteurs. C’est le cas par exemple de la sérotonine, la dopamine et la noradrénaline.
Par conséquent, la chimie du cerveau détermine notre état émotionnel. Ainsi, bien que nous sachions dans de nombreux cas que la seule option est d’avoir recours à des psychotropes pour traiter la dépression, nous voulons aborder ici certaines stratégies complémentaires.
