Alors que la tension grimpe de plus en plus en raison du blocage du réseau ferroviaire, le chef de l’Assemblée des Premières Nations Québec-Labrador (APNQL), Ghislain Picard, a mis les autorités en garde contre une intervention policière, car il craint que la situation puisse “dégénérer”.
C’est lors d’un point de presse présenté vendredi à l’Assemblée nationale que le chef de l’APNQL s’est montré très clair quant à la situation en cours: “Cette année, ça fait 30 ans depuis la crise d’Oka. On sait comment on peut faciliter et encourager l’escalade et, dans ce cas-ci, s’il y a une intervention forcée […] c’est très possible que ça puisse dégénérer”.
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