«Quand j’en croise un, je le salue», Richard Martineau explique pourquoi il admire les policiers

Alors que plusieurs demandent le définancement de la police, Richard Martineau rend au contraire hommage aux agents de la paix.

Dans une chronique intitulée Hommage aux policiers, ces autres anges gardiens publiée samedi matin dans le Journal de Montréal, le chroniqueur répond aux détracteurs des corps policiers. 

« À entendre certains militants crinqués, les policiers seraient agressifs, racistes, prompts à sortir leur flingue et à tirer dans le tas. Bref, des brutes entraînées pour « protéger le capitalisme patriarcal blanc » », écrit-il, citant certaines mesures réclamées par des militants, telles que le désarmement des corps policiers, leur définancement, voir leur abolition. 

Il recommande plutôt aux détracteurs qui s’insurgent contre certaines bavures commises par des corps policiers de lire les témoignages des policiers Catherine Harel, Maxime Mathieu et Yannérick Litalien-Forest, dans le cadre du procès de Benoît Cardinal, qui est accusé du meurtre de sa conjointe, Jaël Cantin. 

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