Comment courir sans se blesser ?

Une tendinite d’Achille, une fasciite plantaire, un syndrome de la bandelette ilio-tibiale, une fracture de fatigue… Ce sont des mots que tous les coureurs redoutent de voir entrer dans leur vocabulaire. Car il peut être long et très pénible de se débarrasser d’une blessure. Le mieux reste donc de prévenir. Voici comment.

« Être à l’écoute des signaux de son corps, c’est essentiel, insiste le docteur Wandji. Et le tout premier, bien sûr, c’est la douleur. Dans la mesure du possible, quand on a mal, on évite de courir. » Et on reprend doucement une fois que la douleur a disparu. Ignorer une douleur et faire l’autruche risque de conduire à son aggravation. Pour ne pas rester sur votre canapé, c’est le moment idéal pour tester l’entraînement croisé : pratiquer un autre sport (vélo, natation…) qui ne sollicitera pas la zone douloureuse. En cas de grosses courbatures, pas la peine d’annuler votre sortie, mais veillez à y aller un peu plus doucement que ce que vous aviez prévu. En revanche, si on se sent épuisé, on ne s’entête pas à vouloir faire sa séance à tout prix. Mieux vaut se reposer, pour revenir en pleine forme le lendemain.

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